19 juin 2007
Sous la fulgurance de l’inutile Ploie l’épine
Sous la fulgurance
de l’inutile
Ploie l’épine
dorsale du réel
Les cris se
tordent et se brisent
Il neige dans
l’arrière-cour.
Le chien me
regarde
Je passe en
courant
Les vagues de
l’inutile à l’assaut
Des chambranles de
nos portes
Qui bougent
Dans le vide
Dans la son
Continuels.
Villes qui
surgissent, qui rêvent
Qui se
construisent.
Murs :
Larmes continues
Joie sans limite,
Vision contiguë au
monde de brique
Les angles se
brisent et s’achèvent.
La mort
A ma place.
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